LES 2 SOURCES DE L'AÏKIDO
D'une manière générale, on reconnait l'Aïkido grâce à ses techniques issues du taijutsu.
Pourtant les techniques de taijutsu sont liées au ken.
Il est difficile de distinguer les techniques issues du Ken et celles issues du taijutsu.
C'est la conjugaison harmonieuse des deux qui est à l'origine d'un Aïkido unique.
En d'autres termes, chaque discipline complète l'autre.
Par contre, ce serait une erreur de mêler Kendo et Judo en espérant obtenir un résultat semblable à l'Aïkido. Même dans le maniement du Ken, Kendo et Aïkido sont très différents bien qu'ils puissent sembler identiques.
De même serait-il très difficile d'utiliser les termes du Judo pour expliquer le Kendo et vice versa.
Où donc se trouve alors la différence entre l'Aïkido et les autres arts martiaux ?
En Aïkido, le second principe, l'harmonie des Ki, a plusieurs applications.
En pratiquant, on s'efforce toujours de mettre son Ki en harmonie avec celui de l'attaquant.
Il est ainsi possible de répondre avec moins de brutalité, sans attaquer ni sans frapper même lorsque cela est possible.
Cette recherche de l'harmonie avec le partenaire se trouve dans les exercices tels que Kumi-jo et Kumi-tachi, techniques de base dont le but est l'harmonie du Ki.
Lorsque les techniques de base ont été assimilées, certains pensent que, dans le but de tester les techniques, il serait souhaitable de passer à la compétition. C’est une erreur car l’idée de compétition (opposition) est complètement à l’opposé du principe d’harmonie de l’aïkido. De plus, ce serait très dangereux, car en Aïkido affrontement signifie combat, blessures et parfois mort surtout avec un sabre réel.
Si des compétitions étaient organisées, il faudrait des règlements.
Les techniques martiales étant par définition dangereuses, la majorité ne serait pas autorisée, d'où un nombre très réduit de techniques possibles et l’appauvrissement de l'Aïkido qui deviendrait un sport.
Plus le Budo d'aujourd'hui (Arts Martiaux) recherche la paix véritable et répand l'esprit de l'amour universel, plus le chemin qui conduit à ce but devient difficile. C'est le monde du Budo.
Avancer sur la voie (Do) est une épreuve qui mène à une joie sans cesse renouvelée et à des relations humaines harmonieuses.
Le pratiquant bénéficie de certains droits.
Il est de son devoir d'accepter les épreuves du ken, du jo et du taijutsu pour progresser sur la voie.
Lorsque l'on comprend la pluralité de l'Aïkido, on sait que l'on ne doit pas être dépendant d'un ken, d'un jo ou d'une autre arme.
Le développement de l'esprit, du corps et de la technique n'est pas lié à l'art héraldique mais à l'action seule.
Si vous utilisez un sabre, ne le considérez pas comme un sabre, si vous utilisez un jo, n'y prêtez pas attention, mais ressentez l'harmonie et l'unité du mouvement.
C'est une preuve de la facilité d'adaptation de l'Aïkido à n'importe quelle situation.
On ne parvient à une compréhension profonde que par l'étude et la pratique. Tous les pratiquants d'Aïkido devraient développer leur Ki, leur forme de corps et leur esprit en s'astreignant à pratiquer chaque jour.
C'est ainsi qu'il est possible de développer le véritable esprit de l'Aïkido.
Pourtant les techniques de taijutsu sont liées au ken.
Il est difficile de distinguer les techniques issues du Ken et celles issues du taijutsu.
C'est la conjugaison harmonieuse des deux qui est à l'origine d'un Aïkido unique.
En d'autres termes, chaque discipline complète l'autre.
Par contre, ce serait une erreur de mêler Kendo et Judo en espérant obtenir un résultat semblable à l'Aïkido. Même dans le maniement du Ken, Kendo et Aïkido sont très différents bien qu'ils puissent sembler identiques.
De même serait-il très difficile d'utiliser les termes du Judo pour expliquer le Kendo et vice versa.
Où donc se trouve alors la différence entre l'Aïkido et les autres arts martiaux ?
En Aïkido, le second principe, l'harmonie des Ki, a plusieurs applications.
En pratiquant, on s'efforce toujours de mettre son Ki en harmonie avec celui de l'attaquant.
Il est ainsi possible de répondre avec moins de brutalité, sans attaquer ni sans frapper même lorsque cela est possible.
Cette recherche de l'harmonie avec le partenaire se trouve dans les exercices tels que Kumi-jo et Kumi-tachi, techniques de base dont le but est l'harmonie du Ki.
Lorsque les techniques de base ont été assimilées, certains pensent que, dans le but de tester les techniques, il serait souhaitable de passer à la compétition. C’est une erreur car l’idée de compétition (opposition) est complètement à l’opposé du principe d’harmonie de l’aïkido. De plus, ce serait très dangereux, car en Aïkido affrontement signifie combat, blessures et parfois mort surtout avec un sabre réel.
Si des compétitions étaient organisées, il faudrait des règlements.
Les techniques martiales étant par définition dangereuses, la majorité ne serait pas autorisée, d'où un nombre très réduit de techniques possibles et l’appauvrissement de l'Aïkido qui deviendrait un sport.
Plus le Budo d'aujourd'hui (Arts Martiaux) recherche la paix véritable et répand l'esprit de l'amour universel, plus le chemin qui conduit à ce but devient difficile. C'est le monde du Budo.
Avancer sur la voie (Do) est une épreuve qui mène à une joie sans cesse renouvelée et à des relations humaines harmonieuses.
Le pratiquant bénéficie de certains droits.
Il est de son devoir d'accepter les épreuves du ken, du jo et du taijutsu pour progresser sur la voie.
Lorsque l'on comprend la pluralité de l'Aïkido, on sait que l'on ne doit pas être dépendant d'un ken, d'un jo ou d'une autre arme.
Le développement de l'esprit, du corps et de la technique n'est pas lié à l'art héraldique mais à l'action seule.
Si vous utilisez un sabre, ne le considérez pas comme un sabre, si vous utilisez un jo, n'y prêtez pas attention, mais ressentez l'harmonie et l'unité du mouvement.
C'est une preuve de la facilité d'adaptation de l'Aïkido à n'importe quelle situation.
On ne parvient à une compréhension profonde que par l'étude et la pratique. Tous les pratiquants d'Aïkido devraient développer leur Ki, leur forme de corps et leur esprit en s'astreignant à pratiquer chaque jour.
C'est ainsi qu'il est possible de développer le véritable esprit de l'Aïkido.
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